Nous quittons Ulm, la ville natale d’Einstein au lever du jour. Il fait un peu frais maintenant depuis quelques jours lors de nos départs, une petite laine s’impose désormais. Ce matin, je ne devais pas être trop réveillé car après quelques tours de roues, pour un malencontreux problème technique de pédale, j’ai été à deux doigts de voir le Danube de très près, de trop près, et de tomber dedans. J’ai eu, au final, le mérite de déclencher l’hilarité de mes voisins. Peu de temps après, radio peloton étant passé par là, tout le PPL était au courant et je n’ai pas manqué d’être mis gentiment en boîte. Une nouvelle fois, la journée a été très agréable. La route de l’euro vélo 6 est beaucoup plus accidentée que je ne l’avais imaginé, c’est même physique sur la partie empruntée depuis deux jours. On y voit d’ailleurs moins de monde, c’est moins familial par rapport aux difficultés je pense. Les villages sont de plus en plus à l’image de nos villages alsaciens, bien fleuri entre autre. Il fait beau, pas trop chaud pour le breton que je suis, je profite des derniers jours de ma «liberté»…
mardi 14 août 2012
118ème étape, Ulm – Sigmaringen (N 48° 05’ ; E 9° 12’), 110 Km.
Nous quittons Ulm, la ville natale d’Einstein au lever du jour. Il fait un peu frais maintenant depuis quelques jours lors de nos départs, une petite laine s’impose désormais. Ce matin, je ne devais pas être trop réveillé car après quelques tours de roues, pour un malencontreux problème technique de pédale, j’ai été à deux doigts de voir le Danube de très près, de trop près, et de tomber dedans. J’ai eu, au final, le mérite de déclencher l’hilarité de mes voisins. Peu de temps après, radio peloton étant passé par là, tout le PPL était au courant et je n’ai pas manqué d’être mis gentiment en boîte. Une nouvelle fois, la journée a été très agréable. La route de l’euro vélo 6 est beaucoup plus accidentée que je ne l’avais imaginé, c’est même physique sur la partie empruntée depuis deux jours. On y voit d’ailleurs moins de monde, c’est moins familial par rapport aux difficultés je pense. Les villages sont de plus en plus à l’image de nos villages alsaciens, bien fleuri entre autre. Il fait beau, pas trop chaud pour le breton que je suis, je profite des derniers jours de ma «liberté»…
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