C’est reparti. Ce soir nous serons à plus de 3000 m et cela me motive. La
première partie de l’étape se fait encore dans la circulation, le bruit et la
poussière. Je regrette simplement de ne pas avoir les supports vélo de ma
petite caméra Go Pro, un petit film vous aurait restitué parfaitement le
contexte. Malgré que l’on soit à plus de 2500m d’altitude, il y a aussi
toujours autant de chantiers de construction. Maintenant, on est plus haut que
le Tourmalet, une de mes références, mais ici, il y a encore des camions, on se
demande tous où ils peuvent bien aller… L’air est frais et meilleur mais on
doit parfois remettre le masque car, avec le vent qui s’est levé, il y a
beaucoup de poussière qui provient de ces montagnes arides. Là, nous sommes à
une altitude plus haute que le Galibier, col que j’ai gravi récemment avec mes
copains de juillet, équipe n°2 comprise. Les rafales de vent redoublent et nous
stoppent littéralement, nous obligeant à nous mettre debout sur les pédales
pour ne pas tomber. Pause déjeuner à 2950 m, le soleil est présent heureusement.
Le vent est toujours là, il est maudit des plus faibles qui en plus, bien
souvent, ne savent pas s’abriter. Devant, j’organise une petite bordure et on
progresse correctement vers la ville étape quand les guides locaux nous
demandent de stopper à 13 Km du terme de l’étape, nous n’avons pas
l’autorisation d’y entrer… Il est alors 16H30. Au prix de très longues
négociations, nous reprendrons notre route à 21H15, de nuit, en convoi, encadré
par la police locale, pour arriver à 22H15 à l’hôtel. Nous nous coucherons
seulement à 1H du matin…
Bon courage pour les jours suivants.......... dans l'attente du prochain jour de repos.
RépondreSupprimerNous partons en vacances du côté de Sarzeau mais malheureusement la météo annoncée n'est pas réjouissante.Mais en Bretagne on sait que le mauivais temps s'en va avec la marée:):):):):)
Bisous
tnOUS PARTONS EN VACANCES EN Bre